EN DUO :
– Le duo compte en même temps : 1, 2, 3
– Après le 3, chacun lance un vrai mot en même temps
– Le duo recompte en même temps : 1,2,3
– Après le 3 et au vu des deux mots qui ont été lancés précédemment, chacun lance un mot qui fait le lien entre ces deux mots
– Le jeu est terminé lorsque les deux personnes ont dit le même mot.
Exemple :
– 1,2,3 : personne A = pomme ; personne B = nature
– 1,2,3 : personne A = arbre ; personne B = fruit
– 1,2,3 : personne A = bourgeon ; personne B = fleur
– 1, 2, 3 : personne A = printemps ; personne B = printemps
=> Fin du jeu
Source : Baptiste Vaes (merci de commenter si vous connaissez d’autres sources)
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IN DUO :
The pair count at the same time: 1, 2, 3
After 3, each person throws out a real word at the same time
The pair count again at the same time: 1, 2, 3
After the count of 3, each person throws in a word that links the two words.
The game is over when both people have said the same word.
Example:
1,2,3: person A = apple; person B = nature
1,2,3 : person A = tree; person B = fruit
1,2,3: person A = bud; person B = flower
1, 2, 3 : person A = spring ; person B = spring
=> End of the game
Source: Baptiste Vaes (please comment if you know of other sources)
J’aime beaucoup ! Ça me donne envie de réfléchir à une version plus musicale, avec un accompagnement collectif (évolutif?) qui tourne jusqu’à ce que tout le monde soit passé au milieu en duo.
Oui, j’aime beaucoup l’idée ! Un peu comme dans « Expérimenter différentes postures en duo » où le duo du centre est accompagné par une co-improvisation ?
Tel que j’ai vu Baptiste, les duos se répartissent dans toute la salle et travaillent en autonomie tous en même temps. C’était une séquence un peu flash. Mais j’aime bien l’idée d’en faire un réel outils de musicalité et d’improvisation au sein d’un arrangement.
Oui par exemple ! J’aime aussi l’idée des duos répartis dans le salle, mais je me dis que ça doit être à la fois beau et amusant à observer de l’extérieur. Et j’imagine bien l’énergie collective que ça peut générer si en plus on fixe par exemple un nombre précis (et assez court) de mesures entre la fin d’un duo et le début du suivant, où les gens se relaient ainsi au milieu de façon fluide et dynamique.